contemporary jazz
Dimanche soir j'ai vraiment craint le pire au A-Trane, ce club de jazz à la programmation hyperactive. Lorsque les membres du Martin Auer Quintett ont débarqué sur scène, j'ai même hésité à m'en aller: deux barbus avec le cheveu mi-long, la raie de côté et des chemises étriquées, deux souffleurs en habits trash/surf/chic (style peu connu mais il m'est impossible d'expliquer autrement à quoi ressemblaient leurs tenues fabriquées à la main par des copines designeuses, comme on allait l'apprendre en fin de concert) et un batteur qui avait l'air normal (il a quand même fini le concert avec une perruque afro et des lunettes d'aveugle). Si l'on ajoute à cela le fait qu'ils étaient annoncés comme un souffle nouveau sur le jazz contemporain et que j'avais été entraîné dans cette histoire sans conviction...
Après deux morceaux j'ai été rassuré sur la santé mentale de Loola et de notre accompagnateur de la soirée, le concert était pas mal du tout et les musiciens très bons.
Après deux morceaux j'ai été rassuré sur la santé mentale de Loola et de notre accompagnateur de la soirée, le concert était pas mal du tout et les musiciens très bons.
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